La politique de transports et de déplacement de la Région
"Quelle politique régionale des transports et déplacements est actuellement mise en place par la nouvelle majorité UMP ? Pour les écologistes la réponse est simple : c’est une politique entièrement axée sur le développement du tout routier".
"Comment des écologistes pourraient-ils cautionner une telle politique alors la Commission Départementale de la Nature des Paysages et des Sites vient d’épingler le projet de nouvelle route du littoral pour non respect de l’environnement ?"
"Comment ignorer que le 9 novembre dernier, la FNAUT (Fédération nationale des associations des usagers de transport), la puissante Fédération (150 associations et 65 000 membres) qui défend le service public des transports, avait infligé à Didier Robert le "ticket rouge" qui punit chaque année l’élu ayant fait un "choix rétrograde" en matière de mode de transports ?"
"En matière de politique des déplacements et transports, Didier Robert a accédé à toutes les exigences du lobby de la route, d’abord en supprimant le projet tram-train qui aurait fait concurrence à ce lobby, puis en basculant tous les financement vers la route (NRL et Trans Eco Express) et enfin en supprimant le péage sur la NRL".
La politique énergétique
"Le projet GERRI a été vidé de toute substance, le mot d’ordre d’autonomie énergétique a disparu, la recherche géothermique a été abandonnée sans aucune réflexion sur ce qui se fait pourtant dans les autres îles volcaniques (Hawaii par exemple) et la filière photovoltaïque est victime de la politique de réduction des aides que mène la majorité UMP à laquelle appartient Didier Robert : on peut légitimement conclure que là aussi le bilan de la politique de la nouvelle majorité est aux antipodes de ce que peuvent en attendre des écologistes".
L'aménagement du littoral
"Le maire de Trois-Bassins s’obstine à vouloir implanter un vaste complexe touristique sur le littoral de sa commune. Or, dans l’ouest, entre les rivages fortement urbanisés de La Saline et de Saint-Leu, cette portion du littoral est l’une des dernières zones encore préservée de la convoitise des bétonneurs, elle présente un caractère “sauvage” avec des espaces naturels peu touchés par les constructions.
Selon le Conservatoire du Littoral, en arrière de la côte, “le site est d'une grande qualité paysagère où des espaces ouverts de savanes herbacées alternent avec des poches de végétation arbustive de bord de mer et des affleurements rocheux ainsi que des ravines et des falaises offrant des points de vue vers le Sud”.
La vidéosurveillance
"Pour Europe Ecologie Les Verts, la vidéosurvillance est une atteinte aux libertés individuelles. Que le gouvernement de droite ait décidé d’offrir un cadeau au secteur économique et au marché de la sécurité en France (40 millions d’euros consacrés en 2011), c’est un choix qui ne surprend pas mais que des communes de gauche ou des collectivités où siègent des élus écologistes s’engouffrent avec ferveur dans ce développement de la vidéo surveillance et dans l’idéologie sécuritaire sans aucune réaction n’est pas tolérable pour l’écologie politique".
"Face à cette situation, nous devons rester vigilants, éviter les erreurs de communication et être très clairs sur la défense de nos valeurs si nous voulons réellement pouvoir être en capacité d’accueillir dignement Eva Joly à La Réunion dans les mois à venir".
"Quelle politique régionale des transports et déplacements est actuellement mise en place par la nouvelle majorité UMP ? Pour les écologistes la réponse est simple : c’est une politique entièrement axée sur le développement du tout routier".
"Comment des écologistes pourraient-ils cautionner une telle politique alors la Commission Départementale de la Nature des Paysages et des Sites vient d’épingler le projet de nouvelle route du littoral pour non respect de l’environnement ?"
"Comment ignorer que le 9 novembre dernier, la FNAUT (Fédération nationale des associations des usagers de transport), la puissante Fédération (150 associations et 65 000 membres) qui défend le service public des transports, avait infligé à Didier Robert le "ticket rouge" qui punit chaque année l’élu ayant fait un "choix rétrograde" en matière de mode de transports ?"
"En matière de politique des déplacements et transports, Didier Robert a accédé à toutes les exigences du lobby de la route, d’abord en supprimant le projet tram-train qui aurait fait concurrence à ce lobby, puis en basculant tous les financement vers la route (NRL et Trans Eco Express) et enfin en supprimant le péage sur la NRL".
La politique énergétique
"Le projet GERRI a été vidé de toute substance, le mot d’ordre d’autonomie énergétique a disparu, la recherche géothermique a été abandonnée sans aucune réflexion sur ce qui se fait pourtant dans les autres îles volcaniques (Hawaii par exemple) et la filière photovoltaïque est victime de la politique de réduction des aides que mène la majorité UMP à laquelle appartient Didier Robert : on peut légitimement conclure que là aussi le bilan de la politique de la nouvelle majorité est aux antipodes de ce que peuvent en attendre des écologistes".
L'aménagement du littoral
"Le maire de Trois-Bassins s’obstine à vouloir implanter un vaste complexe touristique sur le littoral de sa commune. Or, dans l’ouest, entre les rivages fortement urbanisés de La Saline et de Saint-Leu, cette portion du littoral est l’une des dernières zones encore préservée de la convoitise des bétonneurs, elle présente un caractère “sauvage” avec des espaces naturels peu touchés par les constructions.
Selon le Conservatoire du Littoral, en arrière de la côte, “le site est d'une grande qualité paysagère où des espaces ouverts de savanes herbacées alternent avec des poches de végétation arbustive de bord de mer et des affleurements rocheux ainsi que des ravines et des falaises offrant des points de vue vers le Sud”.
La vidéosurveillance
"Pour Europe Ecologie Les Verts, la vidéosurvillance est une atteinte aux libertés individuelles. Que le gouvernement de droite ait décidé d’offrir un cadeau au secteur économique et au marché de la sécurité en France (40 millions d’euros consacrés en 2011), c’est un choix qui ne surprend pas mais que des communes de gauche ou des collectivités où siègent des élus écologistes s’engouffrent avec ferveur dans ce développement de la vidéo surveillance et dans l’idéologie sécuritaire sans aucune réaction n’est pas tolérable pour l’écologie politique".
"Face à cette situation, nous devons rester vigilants, éviter les erreurs de communication et être très clairs sur la défense de nos valeurs si nous voulons réellement pouvoir être en capacité d’accueillir dignement Eva Joly à La Réunion dans les mois à venir".