Conscient de cette problématique, le Conseil Général mène une politique active dans ce domaine pour répondre à ce besoin vital de la population. Il a entrepris depuis plusieurs années plusieurs projets d’irrigation dans l’objectif d’approvisionner les zones les plus sèches afin de parvenir à une distribution équilibrée et équitable de l’eau sur toute La Réunion.
Le plus important est le chantier d’irrigation du littoral Ouest (ILO) qui constitue un levier de croissance et de développement économique. Ce chantier colossal a nécessité un investissement de 900 millions d’euros et permettra à terme la mise en culture de 7 150 hectares de terre dans l’Ouest de l’île.
En cette période de sécheresse, « la plus grave depuis 50 ans » comme l’a récemment rappelé Nassimah Dindar, la présidente du Conseil général, ce projet permettra, également d’apporter un complément de 9 millions de m3 à la nappe phréatique de la Rivière-des-Galets et pas moins de 20 millions pour les besoins domestiques et industriels sur la côte Ouest.
Cette visite du chantier de basculement des eaux, sur le centre technique de Mont-Repos à Saint-Paul, s’est déroulée en présence de représentants des pays de la zone océan Indien qui ont pu apprécier le travail de fond effectué par la Collectivité départementale, ses investissements structurels et innovants ainsi que son expertise en la matière.
Daniel Alamélou, Vice-président du Conseil Général, délégué à l’Eau et Président du Comité de bassin a précisé les impacts positifs de ce projet qui sont dores et déjà mesurables : "Quatre communes bénéficient aujourd’hui d’un soutien en eau, un développement significatif de l’agriculture et la préservation du foncier agricole sur l’Ouest sur 4 300 ha équipés pour l’irrigation, environ 700 exploitations agricoles consolidées et 130 000 tonnes de cannes à sucre supplémentaires produites. Ceci, en intégrant les préoccupations liées aux ressources en eau et au respect des équilibres et paysages naturels, avec toujours un souci d’intégration des différents ouvrages aux paysages des cirques et de la côte Ouest".
"C’est un projet qu’il ne s’agit pas de présenter en tant que modèle générique à reproduire sur tous les autres territoires de l’océan Indien car chacun a ses enjeux et ses problématiques propres. Il s’agit là d’un partage d’expérience et d’un acte fort en matière de coopération régionale", a-t-il ajouté.
Le plus important est le chantier d’irrigation du littoral Ouest (ILO) qui constitue un levier de croissance et de développement économique. Ce chantier colossal a nécessité un investissement de 900 millions d’euros et permettra à terme la mise en culture de 7 150 hectares de terre dans l’Ouest de l’île.
En cette période de sécheresse, « la plus grave depuis 50 ans » comme l’a récemment rappelé Nassimah Dindar, la présidente du Conseil général, ce projet permettra, également d’apporter un complément de 9 millions de m3 à la nappe phréatique de la Rivière-des-Galets et pas moins de 20 millions pour les besoins domestiques et industriels sur la côte Ouest.
Cette visite du chantier de basculement des eaux, sur le centre technique de Mont-Repos à Saint-Paul, s’est déroulée en présence de représentants des pays de la zone océan Indien qui ont pu apprécier le travail de fond effectué par la Collectivité départementale, ses investissements structurels et innovants ainsi que son expertise en la matière.
Daniel Alamélou, Vice-président du Conseil Général, délégué à l’Eau et Président du Comité de bassin a précisé les impacts positifs de ce projet qui sont dores et déjà mesurables : "Quatre communes bénéficient aujourd’hui d’un soutien en eau, un développement significatif de l’agriculture et la préservation du foncier agricole sur l’Ouest sur 4 300 ha équipés pour l’irrigation, environ 700 exploitations agricoles consolidées et 130 000 tonnes de cannes à sucre supplémentaires produites. Ceci, en intégrant les préoccupations liées aux ressources en eau et au respect des équilibres et paysages naturels, avec toujours un souci d’intégration des différents ouvrages aux paysages des cirques et de la côte Ouest".
"C’est un projet qu’il ne s’agit pas de présenter en tant que modèle générique à reproduire sur tous les autres territoires de l’océan Indien car chacun a ses enjeux et ses problématiques propres. Il s’agit là d’un partage d’expérience et d’un acte fort en matière de coopération régionale", a-t-il ajouté.
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