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Grafi Kréol - Pour une écriture fonctionnelle du créole réunionnais selon le CCEE


Culture - Kiltir
Mardi 1 Novembre 2016

Lékritir kréol La Rényon
Une synthèse pour une écriture fonctionnelle du créole réunionnais


  Lékritir kréol La Rényon
Notre but est de proposer, en faisant une synthèse des graphies existantes, une écriture fonctionnelle de la langue créole de La Réunion.
Elle a pour vocation de répondre aux besoins de tous les utilisateurs de la langue écrite : lecteurs, écrivains/écrivants, enseignants, élèves, communicants ...
                
  SOMMAIRE
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ? II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
                
  I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
A. Pluralité des graphies : conséquences négatives
 Nuit à l’image de la langue
 Complique le décodage des lecteurs  Complique l’encodage des écrivants
 Complique l’enseignement de la langue (avec et par la langue)
                
  I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
B. Sollicitations
 Le rectorat et les enseignants  Les lecteurs
 Les écrivains/écrivants
                 
  I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
C. Un contexte favorable
 Le recul nécessaire pour la recherche de l’unité
 Une plus grande tolérance de la part des écrivants
 Des progrès fondamentaux dans la recherche scientifique et dans nos connaissances
                
  I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
D. Attentes de l’unité graphique
 Valorisation de la langue
 Acquisition des automatismes nécessaires à une lecture courante
 Libération des auteurs des contraintes orthographiques  Cohérence graphique dans l’enseignement
                
  II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
Remarques préliminaires :
 Pas une graphie nouvelle mais utilisation des aspects fonctionnels des graphies actuelles du créole réunionnais
 Cohabitation des deux langues (français/réunionnais) qui doivent être pensées en termes de symbiose (pas confusion) et non en opposition
 Une écriture ouverte sur le monde moderne et les graphies des autres langues
                
  II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
A. Les impératifs
- La prise en compte des avancées scientifiques
 Sociolinguistique appliquée
 Psychologie cognitive de la lecture et neurosciences
- La prise en compte des usages graphiques pertinents
 Les écritures dites « spontanées » en créole réunionnais (sms, graffitis, ...)  La publicité, communication commerciale
 La communication institutionnelle dans le domaine sanitaire et social
 La production littéraire
 La communication culturelle événementielle
                
  II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
 Prévention et remédiation de l’illettrisme
 Distinction des codes créoles réunionnais / français
 Prise en compte des mécanismes de lecture
 Respect de la grammaire du créole réunionnais
                
  II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
 Respect des variantes régionales de la langue créole de La Réunion (li et lu, jamé et zamé, ...) Un aspect de l’écriture polynomique
 Respect des différentes fonctions de la langue notamment en poésie (l’huile tentant/tantan de Peters)
 Prise en compte des outils de communication moderne en leur état  Prise en compte des variantes lexicales (artourn, retourn, ...)
                
  III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
A. Le cœur phonographique
B. Les apports sémiographiques (lexique mental, distinction des homographes) accès directement au sens grâce à la graphie
C. Les familles de mots
D. Notre alphabet
                    
  III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
E. Les principes ou positions de base
 Cohabitation harmonieuse des 2 langues : français et rényoné  Les familles de mots
 Les homophones/homographes
F. Les règles de base
 Ecriture transparente, tendre vers un signe/un son mais exceptions : an, in et on  Utilisation des accents : aigu, grave et tréma
 Les onomatopées et les noms d’origine étrangère : graphie d’origine
 Les noms propres
 Les sigles : leur graphie d’origine ? CGT, CCEE, ...
 Le « e » en finale pour distinguer la forme
 Mettre un « e » à la fin des formes courtes des verbes se terminant par un son consonantique ?  L’usage du w
                 
  IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
A. Etude d’autres cas spécifiques B. Découpage de la phrase
C. Répondre aux questions
D. Création de nouveaux mots
                

CCEE



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