La page 12 du document présenté par le CESER a retenu l'attention de Georges-Marie Lépinay. L'ancien secrétaire général de la CGTR a tenu à lire tout le passage qui concerne le phénomène des maisons d'accueil "marron".
" Il est à noter qu’une offre d’accueil informelle (dite « marron ») existe. Difficiles à répertorier et non règlementées au plan de la capacité d’accueil et de l’encadrement, ces maisons et (ou) pensions de famille « dépannent » les familles et semblent concernées tout le territoire. Elles ne font l’objet d’aucun suivi ni contrôle. Elles seraient de l’ordre d’une centaine". "C'est beaucoup", a commenté Georges-Marie Lépinay.
Voilà comment le CESER explique cette situation. "La demande semble importante malgré les risques. Elle résulte d’un choix délibéré mais peut s’expliquer en raison :
- d’une couverture insuffisante du territoire et d‘une mauvaise répartition des établissements concentrés en agglomérations,
- du coût très élevé des établissements agrées,
- du manque de valorisation des aidants (pas de statut, pas suffisamment de répit, une rémunération insuffisante, …)".
" Il est à noter qu’une offre d’accueil informelle (dite « marron ») existe. Difficiles à répertorier et non règlementées au plan de la capacité d’accueil et de l’encadrement, ces maisons et (ou) pensions de famille « dépannent » les familles et semblent concernées tout le territoire. Elles ne font l’objet d’aucun suivi ni contrôle. Elles seraient de l’ordre d’une centaine". "C'est beaucoup", a commenté Georges-Marie Lépinay.
Voilà comment le CESER explique cette situation. "La demande semble importante malgré les risques. Elle résulte d’un choix délibéré mais peut s’expliquer en raison :
- d’une couverture insuffisante du territoire et d‘une mauvaise répartition des établissements concentrés en agglomérations,
- du coût très élevé des établissements agrées,
- du manque de valorisation des aidants (pas de statut, pas suffisamment de répit, une rémunération insuffisante, …)".