"Force est de constater que le PS procède à une véritable purge dans l’Administration digne de 1981 ! En effet, plus de 30 % des préfets et 50 % des recteurs d’académie dans l’Education Nationale ont été changés. Ces nominations sont une véritable chasse aux sorcières en totale contradiction avec les engagements de campagne de François Hollande.
Souvenons-nous, le candidat socialiste nous avait promis un Etat impartial. Avec la nomination d’Olivier Scharmeck à la présidence du CSA, Jack Lang à la tête de l’Institut du Monde Arabe, la nomination de Jean-Pierre Jouyet à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Bruno Bézard (ancien conseiller de Lionel Jospin à Matignon, tiens !) nouveau directeur général des Finances publiques, la liste est longue des socialistes promus.
Et pendant ce temps les anciens dirigeants très souvent méritants, à l’exemple des préfets MM Canepa, Buquen et Bachy sont débarqués sans ménagement. Où sont-ils les intellectuels engagés qui poussaient des cris d’orfraies lors de mutations sous la précédente mandature ? Ce silence assourdissant est complice.
Pour renforcer l'indépendance des nominations à la tête des grandes institutions, le Mouvement Force Jeunes de l’Alternance propose que les personnalités nommées par le chef de l'État doivent être approuvées par les deux tiers des membres des commissions parlementaires.
Cela obligerait le président à nommer des personnalités œcuméniques et non plus les fidèles d'aujourd'hui. C'était d'ailleurs une proposition de François Hollande pendant la campagne des présidentielles. Bizarrement, il ne l'a plus évoquée depuis qu'il est entré à l'Élysée : "Moi Président, j’ai changé !".
Souvenons-nous, le candidat socialiste nous avait promis un Etat impartial. Avec la nomination d’Olivier Scharmeck à la présidence du CSA, Jack Lang à la tête de l’Institut du Monde Arabe, la nomination de Jean-Pierre Jouyet à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Bruno Bézard (ancien conseiller de Lionel Jospin à Matignon, tiens !) nouveau directeur général des Finances publiques, la liste est longue des socialistes promus.
Et pendant ce temps les anciens dirigeants très souvent méritants, à l’exemple des préfets MM Canepa, Buquen et Bachy sont débarqués sans ménagement. Où sont-ils les intellectuels engagés qui poussaient des cris d’orfraies lors de mutations sous la précédente mandature ? Ce silence assourdissant est complice.
Pour renforcer l'indépendance des nominations à la tête des grandes institutions, le Mouvement Force Jeunes de l’Alternance propose que les personnalités nommées par le chef de l'État doivent être approuvées par les deux tiers des membres des commissions parlementaires.
Cela obligerait le président à nommer des personnalités œcuméniques et non plus les fidèles d'aujourd'hui. C'était d'ailleurs une proposition de François Hollande pendant la campagne des présidentielles. Bizarrement, il ne l'a plus évoquée depuis qu'il est entré à l'Élysée : "Moi Président, j’ai changé !".