Fabienne Couapel-Sauret a participé à l'hommage rendu hier à Mathieu Schiller, disparu lundi après-midi en mer, et ce après une nouvelle attaque de requin. Sur la plage de Boucan-Canot, la vice-présidente de la Région Réunion, a assisté avec le millier de parents, proches, amis et anonymes, à une cérémonie emprunte de tristesse, d'émotion, de dignité et d'espoir.
L'espoir, c'est bien sûr de pouvoir dire "ça suffit !". De ne plus faire d'une passion, le surf et la mer, un jeu semblable à la roulette russe. Hier après-midi, la conseillère régionale a reçu, écouté et entendu les surfeurs venus en délégation. Fabienne Couapel-Sauret a proposé, en partenariat avec la mairie de Saint-Paul et la préfecture, la mise en place de deux dispositifs de sécurité.
"Le premier, c'est le Shark-Field, c'est un bouclier électrique anti-requin". Ce dispositif de répulsion électrique, approuvé par la marine australienne après sept mois de test, maintient à au moins huit mètres les squales susceptibles d'attaquer les surfeurs et les plongeurs.
"Le deuxième, c'est la pêche et le marquage du requin, et cela avant de le relâcher en mer". Toutefois, cette proposition ne sera pas simple à concrétiser. Car, il s'agit également de déterminer les requins "menaçants et dangereux". "Les surfeurs ont compris les difficultés de ce dispositif, ils ont aussi montré combien ils sont soucieux du développement durable", a précisé Fabienne Couapel-Sauret, vice-présidente de la Région Réunion.
L'espoir, c'est bien sûr de pouvoir dire "ça suffit !". De ne plus faire d'une passion, le surf et la mer, un jeu semblable à la roulette russe. Hier après-midi, la conseillère régionale a reçu, écouté et entendu les surfeurs venus en délégation. Fabienne Couapel-Sauret a proposé, en partenariat avec la mairie de Saint-Paul et la préfecture, la mise en place de deux dispositifs de sécurité.
"Le premier, c'est le Shark-Field, c'est un bouclier électrique anti-requin". Ce dispositif de répulsion électrique, approuvé par la marine australienne après sept mois de test, maintient à au moins huit mètres les squales susceptibles d'attaquer les surfeurs et les plongeurs.
"Le deuxième, c'est la pêche et le marquage du requin, et cela avant de le relâcher en mer". Toutefois, cette proposition ne sera pas simple à concrétiser. Car, il s'agit également de déterminer les requins "menaçants et dangereux". "Les surfeurs ont compris les difficultés de ce dispositif, ils ont aussi montré combien ils sont soucieux du développement durable", a précisé Fabienne Couapel-Sauret, vice-présidente de la Région Réunion.