La nouvelle majorité municipale a également inscrit sa stratégie "pour l'amélioration de l'environnement à Saint-André", dans le PDEDMA (Plan départemental d'élimination des déchets ménagers et assimilés). Depuis juin 2008, ouverture de la première déchetterie de la ville, à la deuxième édition de "Sali pa out ville", l'objectif est de privilégier le développement durable.
La large réflexion participative à tous les niveaux", et ce dès mars 2009, la collecte de batterie, le Kass moustik, l'élimination des dépôts sauvages, les bacs jaunes, "Sali pa out ville", "Nettoyons la nature", la plan Ravine… s'intègrent d'abord dans une action globale de sensibilisation et d'éducation à la réduction des déchets et aux gestes citoyens.
L'abandon en 2008 du CVED (Centre de valorisation énergétique des déchets) voulu par l'ancienne majorité municipale dès 2006, "a été un choix politique validé par la population". Eric Fruteau, maire et conseiller général de Saint-André, et sa majorité municipale, ont conforté la priorité : développement durable.
"Aujourd'hui, ce sont en moyenne 250.000 €/an (hors charge du personnel) dont dispose le Service environnement. Ce sont 80 agents sur le terrain. Nous devons accroitre les moyens de notre politique en faveur du développement durable". Ce qui signifie aussi plus d'actions de sensibilisation envers les jeunes et la population, plus d'éducation dans à la maison et dans les écoles… Plus de civisme.
La large réflexion participative à tous les niveaux", et ce dès mars 2009, la collecte de batterie, le Kass moustik, l'élimination des dépôts sauvages, les bacs jaunes, "Sali pa out ville", "Nettoyons la nature", la plan Ravine… s'intègrent d'abord dans une action globale de sensibilisation et d'éducation à la réduction des déchets et aux gestes citoyens.
L'abandon en 2008 du CVED (Centre de valorisation énergétique des déchets) voulu par l'ancienne majorité municipale dès 2006, "a été un choix politique validé par la population". Eric Fruteau, maire et conseiller général de Saint-André, et sa majorité municipale, ont conforté la priorité : développement durable.
"Aujourd'hui, ce sont en moyenne 250.000 €/an (hors charge du personnel) dont dispose le Service environnement. Ce sont 80 agents sur le terrain. Nous devons accroitre les moyens de notre politique en faveur du développement durable". Ce qui signifie aussi plus d'actions de sensibilisation envers les jeunes et la population, plus d'éducation dans à la maison et dans les écoles… Plus de civisme.