Il faut leur accorder le mérite qui est le leur et accepter de reconduire voir de renforcer un projet exemplaire à bien des égards. »
Je souhaite vous dire que je partage cette vision et depuis plusieurs années, en tant que dirigeant associatif, j’ai pu ressentir le mal-être de cette population communément appelé « emplois aidés ». D’abord, ceux-ci subissent souvent les aléas des alternances politiques. En général à chaque alternance dans le pays il y a des changements qui pèsent immédiatement sur la population.
Ce thème des contrats aidés mérite comme vous le dites un débat de fond, mais faisons le vite ce débat, cessons de matraquer ces salariés méritant et digne que sont les emplois aidés en général et les emplois verts et emplois ravine en particulier.
Je ne partage pas tous vos choix politiques, mais j’estime qu’au-delà de nos divergences il convient de soutenir une démarche lorsque celle-ci va dans l’intérêt des Réunionnais.
Permettez-moi de vous réitérer les suggestions que j’ai déjà faites à l’État, au Conseil Général, à la Région Réunion et au président de l’association des Maires afin de se mettre autour d’une table à partir d’une base, dans le but d’améliorer le dispositif et surtout d’inscrire les emplois aidés dans une perspective économique, sociale et solidaire dans l’intérêt des Réunionnais et sortir de la spirale infernale de l’insertion.
- de vrais emplois : 35 heures et une durée minimum de 24 mois renouvelables pour tous les contrats aidés (le bricolage des contrats sur 6 mois n’est pas une bonne formule),
- inscrire les agents ravine et emploi vert dans un dispositif à mettre en place le plus tôt possible : « un service public de l’environnement ».
- Envisager sur certains segments des débouchés économiques en créant par exemple des SCIC (société coopérative à Intérêt collectif), structures complémentaires aux associations (qui n’ont au départ pas de vocation économique).
- Avant d’embaucher à tout va et n’importe comment je propose qu’une instance régionale examine les projets de territoires (la commune pourrait être la référence) afin de donner une cohérence à ce qui se fait sur toute La Réunion et qu’ensuite une autorité indépendante s’occupe de l’embauche, la formation, le reclassement des personnes (ceci signera la fin des emplois magouilles).
Mesdames et Messieurs les élus de tous bords politiques, l’enjeu est important et ce sont des milliers de Réunionnais qui sont concernés, alors je vous le dis M. Le Président, je vous apporte mon appui et mon expertise sur ce dossier pour le faire évoluer et votre collectivité peut devenir moteur pour qu’enfin le premier service public de l’environnement national voit le jour à La Réunion. Telle est mon ambition, j’espère que c’est aussi la vôtre.
Je souhaite vous dire que je partage cette vision et depuis plusieurs années, en tant que dirigeant associatif, j’ai pu ressentir le mal-être de cette population communément appelé « emplois aidés ». D’abord, ceux-ci subissent souvent les aléas des alternances politiques. En général à chaque alternance dans le pays il y a des changements qui pèsent immédiatement sur la population.
Ce thème des contrats aidés mérite comme vous le dites un débat de fond, mais faisons le vite ce débat, cessons de matraquer ces salariés méritant et digne que sont les emplois aidés en général et les emplois verts et emplois ravine en particulier.
Je ne partage pas tous vos choix politiques, mais j’estime qu’au-delà de nos divergences il convient de soutenir une démarche lorsque celle-ci va dans l’intérêt des Réunionnais.
Permettez-moi de vous réitérer les suggestions que j’ai déjà faites à l’État, au Conseil Général, à la Région Réunion et au président de l’association des Maires afin de se mettre autour d’une table à partir d’une base, dans le but d’améliorer le dispositif et surtout d’inscrire les emplois aidés dans une perspective économique, sociale et solidaire dans l’intérêt des Réunionnais et sortir de la spirale infernale de l’insertion.
- de vrais emplois : 35 heures et une durée minimum de 24 mois renouvelables pour tous les contrats aidés (le bricolage des contrats sur 6 mois n’est pas une bonne formule),
- inscrire les agents ravine et emploi vert dans un dispositif à mettre en place le plus tôt possible : « un service public de l’environnement ».
- Envisager sur certains segments des débouchés économiques en créant par exemple des SCIC (société coopérative à Intérêt collectif), structures complémentaires aux associations (qui n’ont au départ pas de vocation économique).
- Avant d’embaucher à tout va et n’importe comment je propose qu’une instance régionale examine les projets de territoires (la commune pourrait être la référence) afin de donner une cohérence à ce qui se fait sur toute La Réunion et qu’ensuite une autorité indépendante s’occupe de l’embauche, la formation, le reclassement des personnes (ceci signera la fin des emplois magouilles).
Mesdames et Messieurs les élus de tous bords politiques, l’enjeu est important et ce sont des milliers de Réunionnais qui sont concernés, alors je vous le dis M. Le Président, je vous apporte mon appui et mon expertise sur ce dossier pour le faire évoluer et votre collectivité peut devenir moteur pour qu’enfin le premier service public de l’environnement national voit le jour à La Réunion. Telle est mon ambition, j’espère que c’est aussi la vôtre.