De l'Est (Saint-André) au Sud (Saint-Pierre), l'Inde s'ouvre à La Réunion, telles les fleurs blanches du frangipanier, teintées de jaune safran. Entre spiritualité et fête de la Lumière, les "Danses villageoises et percussions" le thème de cette vingt-deuxième édition, célèbrent la culture indienne dans ce qu'elle de plus intense dans son hymne à la vie, à la beauté, mais aussi aux dures réalités économiques et sociales.
Ce soir, cette flamme allumera une multitude de lampes, des centaines de lumières, autant d'étincelles dans les yeux et les regards, telle une guirlande lumineuse donnant tout son éclat aux saris pastels, striés de paillettes. L'émotion partira du cœur, le maillon fort, pour une communion d'esprit. Et une longue chaîne de sensation de liberté et de spiritualité.
Rieul Latchoumi, l'homme de la connaissance, lucide et vigilant, pour qui l'Inde puise sa richesse culturelle dans sa réalité économique et sociale, s'évertue, sans tabla ni trompette, chaque année à montrer l'Inde dans son authenticité. Ses couleurs et ses noirceurs. De l'ombre à la lumière. L'Inde de Gandhi. La salle Guy Alphonsine y évoquera ces tableaux vrais et extrêmes parfois dans son opposition.
Daniel Gonvindin, l'homme orchestre, veillera lui, au respect de la partition. "Le Dipavali, c'est d'abord une grande équipe solidaire. C'est aussi des mois de formation à la danse ou au chant, et la création des chars. C'est enfin des mois de travail pour préparer ce rendez-vous très attendu. Saint-André veut offrir une magnifique lumière à La Réunion et aux Réunionnais".
"Ce n'est peut-être pas la plus belle de toutes les lumières, mais celle-là, forte, sincère et intense, elle vient du cœur de centaines de personnes qui espèrent, en chœur, raviver la flamme, la petite lumière, l'étincelle parfois tant éprouvée, et qui vacille lorsque les larmes, la rosée du cœur, perlent trop souvent"…
Ce soir, cette flamme allumera une multitude de lampes, des centaines de lumières, autant d'étincelles dans les yeux et les regards, telle une guirlande lumineuse donnant tout son éclat aux saris pastels, striés de paillettes. L'émotion partira du cœur, le maillon fort, pour une communion d'esprit. Et une longue chaîne de sensation de liberté et de spiritualité.
Rieul Latchoumi, l'homme de la connaissance, lucide et vigilant, pour qui l'Inde puise sa richesse culturelle dans sa réalité économique et sociale, s'évertue, sans tabla ni trompette, chaque année à montrer l'Inde dans son authenticité. Ses couleurs et ses noirceurs. De l'ombre à la lumière. L'Inde de Gandhi. La salle Guy Alphonsine y évoquera ces tableaux vrais et extrêmes parfois dans son opposition.
Daniel Gonvindin, l'homme orchestre, veillera lui, au respect de la partition. "Le Dipavali, c'est d'abord une grande équipe solidaire. C'est aussi des mois de formation à la danse ou au chant, et la création des chars. C'est enfin des mois de travail pour préparer ce rendez-vous très attendu. Saint-André veut offrir une magnifique lumière à La Réunion et aux Réunionnais".
"Ce n'est peut-être pas la plus belle de toutes les lumières, mais celle-là, forte, sincère et intense, elle vient du cœur de centaines de personnes qui espèrent, en chœur, raviver la flamme, la petite lumière, l'étincelle parfois tant éprouvée, et qui vacille lorsque les larmes, la rosée du cœur, perlent trop souvent"…