Didier Robert, président de la RUP océan Indien, a le même objectif que les autres présidents de RUP de l'Europe : le développement économique et social et ce avec une prise en compte maximale des spécificités de chaque RUP. Comme le précise par ailleurs l'article 349 du Traité de Lisbonne (ex-article 299-2 du Traité d'Amsterdam, ex-article 227-2 du Traité de Rome). "La loi est claire, il suffit de l'appliquer dans sa plus large expression".
Didier Robert a insisté. "Chaque RUP doit préparer et présenter son plan d'action. Chaque RUP doit concevoir ses stratégies, son pacte territorial, et sa vision du développement économique et social. Chaque RUP doit mettre en exergue ses spécificités. Ses points forts et ses points faibles. Bruxelles doit nous laisser privilégier nos filières d'excellence. C'est le cas pour la pêche. Il y aussi le tourisme et les énergies renouvelables. Nous n'avons aucun champ d'intervention, ne serait-ce pour moderniser la flotte de pêche".
Les présidents des RUP remettront leur plan d'action au Commissaire européen, Johannes Hahn, à la mi-mai. D'ici là, Didier Robert espère que le président de la République, François Hollande aura accédé à sa demande et que "la "Conférence aura exposé au chef de l'Etat, sa position commune sur les suites concrètes à donner" aux conclusions de la mission parlementaire menée par le député Serge Letchimy, "Il s'agit de donner enfin, toute sa réalité juridique à l'article 349 du Traité de Lisbonne".
Cet article 349, c'est aussi le premier élément du tronc commun "dans lequel il y a la pêche, l'agriculture, le tourisme, l'agroalimentaire, le numérique…" C'est autour de ses critères que le président de la Région Réunion est en train de définir son plan d'action ou pacte territorial. "C'est à nous de fixer nos orientations". Pour Didier Robert, l'article 349 n'est pas un obstacle. "c'est Bruxelles que nous devons convaincre du bien-fondé et de l'efficacité de notre démarche".
Didier Robert a insisté. "Chaque RUP doit préparer et présenter son plan d'action. Chaque RUP doit concevoir ses stratégies, son pacte territorial, et sa vision du développement économique et social. Chaque RUP doit mettre en exergue ses spécificités. Ses points forts et ses points faibles. Bruxelles doit nous laisser privilégier nos filières d'excellence. C'est le cas pour la pêche. Il y aussi le tourisme et les énergies renouvelables. Nous n'avons aucun champ d'intervention, ne serait-ce pour moderniser la flotte de pêche".
Les présidents des RUP remettront leur plan d'action au Commissaire européen, Johannes Hahn, à la mi-mai. D'ici là, Didier Robert espère que le président de la République, François Hollande aura accédé à sa demande et que "la "Conférence aura exposé au chef de l'Etat, sa position commune sur les suites concrètes à donner" aux conclusions de la mission parlementaire menée par le député Serge Letchimy, "Il s'agit de donner enfin, toute sa réalité juridique à l'article 349 du Traité de Lisbonne".
Cet article 349, c'est aussi le premier élément du tronc commun "dans lequel il y a la pêche, l'agriculture, le tourisme, l'agroalimentaire, le numérique…" C'est autour de ses critères que le président de la Région Réunion est en train de définir son plan d'action ou pacte territorial. "C'est à nous de fixer nos orientations". Pour Didier Robert, l'article 349 n'est pas un obstacle. "c'est Bruxelles que nous devons convaincre du bien-fondé et de l'efficacité de notre démarche".