Stéphane Fouassin, président du Nouveau centre l'une des composantes de La Réunion en confiance, a paraphrasé Gilbert Annette, premier secrétaire fédéral du parti socialiste : "François Hollande, grand prometteur, petit faiseur". Et Louis-Bertrand Grondin de rajouter : "S'il gère la France comme il a géré le département de la Corrèze qui est le plus endetté de la nation, nous avons des raisons d'être inquiets".
Didier Robert a comparé "les 500 millions d'euros pour l'investissement Outre-mer", c'est-à-dire "50 euros/habitant pour les cinq prochaines années" à un pourboire. "L'Outre-mer n'a jamais demandé la charité à François Hollande". Le gouvernement Fillon s'est engagé pour 869 millions d'euros. "Est-ce c'est Monique Orphé ou Ericka Bareigts qui a soufflé de telles mesures au candidat socialiste, candidat de vieilles recettes et de l'immobilisme ?"
Que ce soit sur la loi de programmation touristique, la loi d'orientation et de modernisation agricole, la pêche et de l'aquaculture, la défiscalisation, la baisse des coûts numériques, la continuité territoriale, proposées par François Hollande…, Didier Robert a répondu par les moyens décidés par le gouvernement de François Fillon, et les concrétisations réalisées par la Région Réunion : "défiscalisation de logement social, le prix de la tonne bagasse, la fréquentation croissante du tourisme d'agrément, 70.000 Réunionnais qui ont voyagé grâce à la continuité territoriale…"
Le président de La Réunion en confiance s'est aussi interrogé sur la capacité ou la compétence du candidat Hollande, s'il devenait président de la République, à intervenir "contre les monopoles et les marges abusives, contre la hausse des prix des carburants, à encadrer les produits de première nécessité, à faire converger les tarifs bancaires entre les Dom et l'Hexagone et à aligner les prix des télécommunications…"
"Comment va-t-il intervenir sur les prix alors que nous sommes dans un système de libre concurrence et échange ?" Et en ce qui concerne le carburant, Didier Robert a rappelé que le projet de créer une unité de stockage à La Réunion pour concurrencer la SRPP, avance rapidement en concertation avec la Chambre de commerce.
Didier Robert a comparé "les 500 millions d'euros pour l'investissement Outre-mer", c'est-à-dire "50 euros/habitant pour les cinq prochaines années" à un pourboire. "L'Outre-mer n'a jamais demandé la charité à François Hollande". Le gouvernement Fillon s'est engagé pour 869 millions d'euros. "Est-ce c'est Monique Orphé ou Ericka Bareigts qui a soufflé de telles mesures au candidat socialiste, candidat de vieilles recettes et de l'immobilisme ?"
Que ce soit sur la loi de programmation touristique, la loi d'orientation et de modernisation agricole, la pêche et de l'aquaculture, la défiscalisation, la baisse des coûts numériques, la continuité territoriale, proposées par François Hollande…, Didier Robert a répondu par les moyens décidés par le gouvernement de François Fillon, et les concrétisations réalisées par la Région Réunion : "défiscalisation de logement social, le prix de la tonne bagasse, la fréquentation croissante du tourisme d'agrément, 70.000 Réunionnais qui ont voyagé grâce à la continuité territoriale…"
Le président de La Réunion en confiance s'est aussi interrogé sur la capacité ou la compétence du candidat Hollande, s'il devenait président de la République, à intervenir "contre les monopoles et les marges abusives, contre la hausse des prix des carburants, à encadrer les produits de première nécessité, à faire converger les tarifs bancaires entre les Dom et l'Hexagone et à aligner les prix des télécommunications…"
"Comment va-t-il intervenir sur les prix alors que nous sommes dans un système de libre concurrence et échange ?" Et en ce qui concerne le carburant, Didier Robert a rappelé que le projet de créer une unité de stockage à La Réunion pour concurrencer la SRPP, avance rapidement en concertation avec la Chambre de commerce.