Didier Robert, Président du Conseil régional, réitère son soutien aux ex-salariés de l’ARAST qui ont manifesté hier leur désarroi et mécontentement dans l’enceinte du Conseil général, contraints une fois encore de se mobiliser pour tenter de se faire entendre. Leur combat est légitime.
Le président de Région regrette que, depuis deux ans, date de la liquidation judiciaire de la structure, la présidente du Conseil général, Nassimah Dindar, n’ait pas voulu prendre en compte la situation personnelle et familiale de ces agents, en grande majorité des femmes.
En effet, depuis décembre 2009, ces agents, qui exerçaient une mission de service public pour le compte du Conseil général et au bénéfice, notamment, des personnes âgées n’ont perçu aucune indemnité. Ainsi pour la troisième année consécutive, ces mères et pères de famille se trouveront démunis lors des fêtes de fin d’année.
Une solution rapide doit être trouvée entre les AGS et le Conseil général pour que ces personnes puissent faire face à leurs obligations de manière décente.
Enfin, le président du Conseil régional déplore et dénonce le refus par la présidente du Conseil général de recevoir ces ex-salariés et le recours aux moyens utilisés pour les déloger du Palais de la Source.
Le président de Région regrette que, depuis deux ans, date de la liquidation judiciaire de la structure, la présidente du Conseil général, Nassimah Dindar, n’ait pas voulu prendre en compte la situation personnelle et familiale de ces agents, en grande majorité des femmes.
En effet, depuis décembre 2009, ces agents, qui exerçaient une mission de service public pour le compte du Conseil général et au bénéfice, notamment, des personnes âgées n’ont perçu aucune indemnité. Ainsi pour la troisième année consécutive, ces mères et pères de famille se trouveront démunis lors des fêtes de fin d’année.
Une solution rapide doit être trouvée entre les AGS et le Conseil général pour que ces personnes puissent faire face à leurs obligations de manière décente.
Enfin, le président du Conseil régional déplore et dénonce le refus par la présidente du Conseil général de recevoir ces ex-salariés et le recours aux moyens utilisés pour les déloger du Palais de la Source.