La Région Réunion est en train de faire de l'emploi, sa priorité. La majorité régionale a ouvert plusieurs fronts, et ce pour optimiser sa politique de formation et augmenter l'employabilité de celle-ci. Ces mêmes formations seront définies selon les besoins des grands chantiers contenus dans les Accords de Matignon 2. "Les projections ouvrent de réelles perspectives".
Jean-Luc Minatchy, directeur régional du Pole emploi, précise : "La signature de cette convention entre la Région Réunion (40 % du financement), l'Etat (40 %) et le Pole emploi Réunion-Mayotte (20 %), permet la création d'une cellule prospective, en emplois nécessaires pour la réalisation de ces quatre projets structurants".
"Il s'agit d'une part d'évaluer les besoins prévisionnels en emplois et compétences, et cela en fonction des caractéristiques techniques des ouvrages et du planning prévisionnel des travaux des différents chantiers", indique Didier Robert. "D'autre part, et c'est ce qui essentiel pour nous, nous voulons anticiper et évaluer les ressources humaines mobilisables à La Réunion".
"Le besoin en main d'œuvre pour les chantiers, identifié, et la main d'œuvre locale disponible répertoriée, nous saurons pour quels emplois spécifiques, nous allons former des Réunionnais", poursuit le patron de la pyramide inversée. Ce schéma devrait permettre d'optimiser l'employabilité de la politique de formation de la Région Réunion.
L'accord-cadre comprend aussi l'accompagnement fin des travaux "afin d'identifier les solutions de pérennisation des emplois par le développement économique généré". A terme, combien d'emplois vont générer ces quatre projets structurants ? "Un million d'€ investis dans le secteur des travaux publics créent 8,1 emplois", précise Didier Robert, président de la Région Réunion.
Jean-Luc Minatchy, directeur régional du Pole emploi, précise : "La signature de cette convention entre la Région Réunion (40 % du financement), l'Etat (40 %) et le Pole emploi Réunion-Mayotte (20 %), permet la création d'une cellule prospective, en emplois nécessaires pour la réalisation de ces quatre projets structurants".
"Il s'agit d'une part d'évaluer les besoins prévisionnels en emplois et compétences, et cela en fonction des caractéristiques techniques des ouvrages et du planning prévisionnel des travaux des différents chantiers", indique Didier Robert. "D'autre part, et c'est ce qui essentiel pour nous, nous voulons anticiper et évaluer les ressources humaines mobilisables à La Réunion".
"Le besoin en main d'œuvre pour les chantiers, identifié, et la main d'œuvre locale disponible répertoriée, nous saurons pour quels emplois spécifiques, nous allons former des Réunionnais", poursuit le patron de la pyramide inversée. Ce schéma devrait permettre d'optimiser l'employabilité de la politique de formation de la Région Réunion.
L'accord-cadre comprend aussi l'accompagnement fin des travaux "afin d'identifier les solutions de pérennisation des emplois par le développement économique généré". A terme, combien d'emplois vont générer ces quatre projets structurants ? "Un million d'€ investis dans le secteur des travaux publics créent 8,1 emplois", précise Didier Robert, président de la Région Réunion.