"La deuxième étape est toujours une élection nationale : celle des députés dont la mission consiste à voter les lois qui s’appliqueront, non sur un territoire particulier, mais sur tout le territoire de la République", a dit sa suppléante Brigitte Malet.
"Il serait à la fois équitable à l’égard des électeurs, sain pour la démocratie et bon pour la France que le Front de Gauche soit représenté à l’Assemblée Nationale, car il ne suffira pas de corriger à la marge les excès du capitalisme pour mettre fin à la crise.
Tout le monde est d’accord pour dire qu’à la source de tout ce désordre, il y a la dérive du système financier international. Le Front de Gauche propose d’attaquer le mal à la racine en reprenant le pouvoir aux banquiers :
- Nous demandons la suppression de l’article 123 du Traité de Lisbonne qui interdit aux Etats d’emprunter directement à la Banque Centrale Européenne pour les obliger à emprunter aux banques privées. L’intérêt général ne doit-il pas passer avant les intérêts des particuliers ?
- Nous exigeons un audit de la dette de 1800 milliards qui pèsent sur les finances publiques sachant que la totalité de nos impôts sur le revenu suffit à peine à payer les intérêts annuels prélevés par les banquiers (cinquante milliards environ). Est-ce bien normal lorsque l’on sait que ces bénéfices scandaleux payés aux plus riches trouvent refuge dans les paradis fiscaux ?
- Nous réclamons un partage des richesses plus juste à travers une politique fiscale qui ne fait pas peser uniquement sur la classe moyenne l’effort de solidarité avec les plus défavorisés.
La remise à plat de ce système inique permettrait immédiatement à l’Etat et aux entreprises de retrouver des marges de manœuvre pour :
- Relancer l’activité économique tout en respectant l’environnement,
- Soutenir la création d’emplois, améliorer les salaires et lutter contre la précarité,
- Développer les transports, le logement et faciliter l’accession à la propriété,
- Sauvegarder la fonction publique et la protection sociale.
C’est un cercle vertueux qui s’enclencherait et nous permettrait d’affronter avec sérénité les défis de la mondialisation. Le 6 mai était un vote de raison ; le 10 juin devra être un vote du cœur.
En votant pour le Front de Gauche, vous voterez pour alléger la dette publique, donc à la fois alléger nos impôts, améliorer le sort de chacun et ne pas laisser une charge sur la tête de nos enfants.
L’austérité n’est pas une fatalité ! C’est à vous de décider !"
"Il serait à la fois équitable à l’égard des électeurs, sain pour la démocratie et bon pour la France que le Front de Gauche soit représenté à l’Assemblée Nationale, car il ne suffira pas de corriger à la marge les excès du capitalisme pour mettre fin à la crise.
Tout le monde est d’accord pour dire qu’à la source de tout ce désordre, il y a la dérive du système financier international. Le Front de Gauche propose d’attaquer le mal à la racine en reprenant le pouvoir aux banquiers :
- Nous demandons la suppression de l’article 123 du Traité de Lisbonne qui interdit aux Etats d’emprunter directement à la Banque Centrale Européenne pour les obliger à emprunter aux banques privées. L’intérêt général ne doit-il pas passer avant les intérêts des particuliers ?
- Nous exigeons un audit de la dette de 1800 milliards qui pèsent sur les finances publiques sachant que la totalité de nos impôts sur le revenu suffit à peine à payer les intérêts annuels prélevés par les banquiers (cinquante milliards environ). Est-ce bien normal lorsque l’on sait que ces bénéfices scandaleux payés aux plus riches trouvent refuge dans les paradis fiscaux ?
- Nous réclamons un partage des richesses plus juste à travers une politique fiscale qui ne fait pas peser uniquement sur la classe moyenne l’effort de solidarité avec les plus défavorisés.
La remise à plat de ce système inique permettrait immédiatement à l’Etat et aux entreprises de retrouver des marges de manœuvre pour :
- Relancer l’activité économique tout en respectant l’environnement,
- Soutenir la création d’emplois, améliorer les salaires et lutter contre la précarité,
- Développer les transports, le logement et faciliter l’accession à la propriété,
- Sauvegarder la fonction publique et la protection sociale.
C’est un cercle vertueux qui s’enclencherait et nous permettrait d’affronter avec sérénité les défis de la mondialisation. Le 6 mai était un vote de raison ; le 10 juin devra être un vote du cœur.
En votant pour le Front de Gauche, vous voterez pour alléger la dette publique, donc à la fois alléger nos impôts, améliorer le sort de chacun et ne pas laisser une charge sur la tête de nos enfants.
L’austérité n’est pas une fatalité ! C’est à vous de décider !"