"Le hasard fait en effet parfois bien les choses. Comme des centaines de Dionysiens, je me promenais ce samedi dans la rue Maréchal Leclerc, profitant des derniers instants de la braderie commerciale. Soudain, je croisai Nassimah Dindar, entourée de sympathisants, qui faisait campagne. Je m’approchai. Et là je vis et je compris.
Je vis l’accueil qui lui était réservé, à elle et à son suppléant Michel Lagourgue.
Je vis combien les gens étaient heureux de la voir, de pouvoir lui parler, de pouvoir l’approcher jusqu’à la toucher. Et je vis aussi combien elle-même était heureuse de ce contact. Son plaisir n’est pas feint. Elle est comme François Hollande, elle aime les gens. Et ça se voit. Autour d’elle, les passants s’agglutinent, plaisantent, disent spontanément « Nassimah députée ». Ce n’est pas le premier cortège politique que je croise ainsi, mais c’est bien le premier où je perçois une telle chaleur, un tel engouement.
Et c’est alors que je compris. Car, même si dans un précédent courrier, j’affirmai que Nassimah Dindar n’avait peur de personne, je ne comprenais pas d’où une petite femme comme ça pouvait tirer une telle force. Parce qu’il en faut de la force, pour aller oser affronter les deux grands partis nationaux UMP et PS qui ne lésinent pas sur les moyens. Parce qu’il en faut de la force pour affronter le représentant d’un parti pour qui la fin justifie les moyens, et qui n’hésite pas, comme la presse s’en est fait l’écho, à utiliser ou laisser utiliser des méthodes « limites ».
Parce qu’il en faut aussi de la force pour oser secouer sa majorité du Conseil général pour défendre des opinions, des positions pas forcément contraires mais en tous les cas différentes. Et enfin, comme je le disais plus haut, parce qu'il faut de la force et du courage pour choisir la position du centre dans un monde politique qui préfère la bipolarisation.
Et donc, disais-je, là, je compris d’où Nassimah Dindar tirait cette étonnante force. Tout simplement de vous, de nous, du peuple quoi ! De ce peuple qui lui a fait confiance depuis qu’elle est entrée en politique et qu’elle n’a jamais trahi ! De ce peuple qui en a assez des députés qui placent les intérêts de partis au-dessus des intérêts de La Réunion et des Réunionnais !
Que peut-on attendre d’un député PS sinon qu’il approuve tout ce que dira François Hollande ? Que peut-on attendre d’un député UMP sinon qu’il s’oppose à tout ce que dira François Hollande ? Que peut-on attendre d’un député PCR sinon qu’il tente par tous les moyens d’imposer par Paris des projets que les Réunionnais ont majoritairement rejetés ?
Au contraire, Nassimah Dindar l’a dit à tous ceux qu’elle a croisés, avec qui elle a longuement discuté : elle votera oui aux projets bons pour La Réunion, elle votera non aux projets contraires, et aussi, elle rappellera au Président Hollande les engagements qu’il a pris envers les Réunionnais quand il n’était que candidat ! Voilà ce dont La Réunion et les Réunionnais ont besoin ! Voilà ce dont les Dionysiens ont besoin ! Voilà ce dont nous avons tous besoin !"
Je vis l’accueil qui lui était réservé, à elle et à son suppléant Michel Lagourgue.
Je vis combien les gens étaient heureux de la voir, de pouvoir lui parler, de pouvoir l’approcher jusqu’à la toucher. Et je vis aussi combien elle-même était heureuse de ce contact. Son plaisir n’est pas feint. Elle est comme François Hollande, elle aime les gens. Et ça se voit. Autour d’elle, les passants s’agglutinent, plaisantent, disent spontanément « Nassimah députée ». Ce n’est pas le premier cortège politique que je croise ainsi, mais c’est bien le premier où je perçois une telle chaleur, un tel engouement.
Et c’est alors que je compris. Car, même si dans un précédent courrier, j’affirmai que Nassimah Dindar n’avait peur de personne, je ne comprenais pas d’où une petite femme comme ça pouvait tirer une telle force. Parce qu’il en faut de la force, pour aller oser affronter les deux grands partis nationaux UMP et PS qui ne lésinent pas sur les moyens. Parce qu’il en faut de la force pour affronter le représentant d’un parti pour qui la fin justifie les moyens, et qui n’hésite pas, comme la presse s’en est fait l’écho, à utiliser ou laisser utiliser des méthodes « limites ».
Parce qu’il en faut aussi de la force pour oser secouer sa majorité du Conseil général pour défendre des opinions, des positions pas forcément contraires mais en tous les cas différentes. Et enfin, comme je le disais plus haut, parce qu'il faut de la force et du courage pour choisir la position du centre dans un monde politique qui préfère la bipolarisation.
Et donc, disais-je, là, je compris d’où Nassimah Dindar tirait cette étonnante force. Tout simplement de vous, de nous, du peuple quoi ! De ce peuple qui lui a fait confiance depuis qu’elle est entrée en politique et qu’elle n’a jamais trahi ! De ce peuple qui en a assez des députés qui placent les intérêts de partis au-dessus des intérêts de La Réunion et des Réunionnais !
Que peut-on attendre d’un député PS sinon qu’il approuve tout ce que dira François Hollande ? Que peut-on attendre d’un député UMP sinon qu’il s’oppose à tout ce que dira François Hollande ? Que peut-on attendre d’un député PCR sinon qu’il tente par tous les moyens d’imposer par Paris des projets que les Réunionnais ont majoritairement rejetés ?
Au contraire, Nassimah Dindar l’a dit à tous ceux qu’elle a croisés, avec qui elle a longuement discuté : elle votera oui aux projets bons pour La Réunion, elle votera non aux projets contraires, et aussi, elle rappellera au Président Hollande les engagements qu’il a pris envers les Réunionnais quand il n’était que candidat ! Voilà ce dont La Réunion et les Réunionnais ont besoin ! Voilà ce dont les Dionysiens ont besoin ! Voilà ce dont nous avons tous besoin !"
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