Il y a d'abord la priorité. Didier Robert l'a défini par une phrase d'André Malraux. "Il n'y a pas cinquante manières de combattre, il n'y en a qu'une, c'est d'être vainqueur". La victoire. Et dans l'union. "Ceux qui une fois encore, font le choix personnel de conduire une liste dissidente, portent seuls, la responsabilité de se tenir en dehors de l'union".
Et Didier Robert d'être plus direct : "Il y a ceux qui sont en congé". Dans un courrier à Jean-François Copé, secrétaire national de l'UMP, Jean-Paul Virapoullé s'est mis en congé de son parti. Et le président de La Réunion en confiance de poursuivre : "Quand on est en congé, on profite du soleil, des balades en forêt, ou des promenades en mer pour ceux qui ont un bateau…"
Michel Fontaine a été plus acerbe, plus ferme. Il a d'abord parlé de choix, règles, discipline et solidarité "quand on parle d'union. L'intérêt général passe avant l'intérêt personnel. Nous ne sommes pas là pour servir une carrière".
La tête de liste de "l'Union pour La Réunion" a usé du poids des mots : "L'invective, la parodie et les petites phrases stériles n'ont jamais fait évoluer La Réunion". Et de renchérir : "A quoi sert la prétendue expérience, si après trois défaites cinglantes, ces diviseurs ne changent pas d'attitude".
Une certitude. Hier, le congrès de la Droite a aussi désigné le principal adversaire de la liste "l'Union pour La Réunion", Jean-Paul Virapoullé. Tout ça pour rendre jaloux, Paul Vergès…
Et Didier Robert d'être plus direct : "Il y a ceux qui sont en congé". Dans un courrier à Jean-François Copé, secrétaire national de l'UMP, Jean-Paul Virapoullé s'est mis en congé de son parti. Et le président de La Réunion en confiance de poursuivre : "Quand on est en congé, on profite du soleil, des balades en forêt, ou des promenades en mer pour ceux qui ont un bateau…"
Michel Fontaine a été plus acerbe, plus ferme. Il a d'abord parlé de choix, règles, discipline et solidarité "quand on parle d'union. L'intérêt général passe avant l'intérêt personnel. Nous ne sommes pas là pour servir une carrière".
La tête de liste de "l'Union pour La Réunion" a usé du poids des mots : "L'invective, la parodie et les petites phrases stériles n'ont jamais fait évoluer La Réunion". Et de renchérir : "A quoi sert la prétendue expérience, si après trois défaites cinglantes, ces diviseurs ne changent pas d'attitude".
Une certitude. Hier, le congrès de la Droite a aussi désigné le principal adversaire de la liste "l'Union pour La Réunion", Jean-Paul Virapoullé. Tout ça pour rendre jaloux, Paul Vergès…