Il est reproché par les uns, TAK, Paulet, Vlody, ou qui veut bien le dire, que la gestion de cette intercommunalité sous l’ancienne mandature relève de mauvaise manière pour ne pas dire d’une incapacité à la gestion. Est-ce bien le cas, est-ce vraiment une vérité d’aujourd’hui ? Après de simples recherches, certaines choses m’ont interpellé. La première interrogation concerne le bilan comptable de 2010, année d’arrivée de Didier Robert, l’excédent était de plus de 2 millions.
En tant que mauvais gestionnaire présupposé, j’aurai pu m’attendre selon les dires de TAK, que l’année suivante, la situation se serait aggravée. La réponse est non, l’excédent a doublé, plus de 4 millions, en 2012 et 2013 plus de 5 millions d’euro d’excédent. Pour un mauvais gestionnaire en effet il est.
De mon point de vue, la bonne question devrait être la suivante : à qui bénéficie ces mauvaises, ces contre-vérités, ces manipulations de chiffres ?
Quels objectifs pour TAK aujourd’hui, Paulet hier, souhaitent atteindre ces personnes politiques, plus nuisibles que remarquables ?
Voudrait-il faire passer Didier Robert comme un mauvais gestionnaire. De la même manière que sur la commune du Tampon et sur la même période, il y avait un excédent de trésorerie. Où est la mauvaise foi ?
Voici un extrait du site de la CASUD :
« Le compte administratif est le bilan financier de la collectivité au 31 décembre 2012.
Le compte administratif du budget principal de la CASUD laisse apparaître un excédent net de clôture de 6.8 millions d'euros. Les dépenses de fonctionnement s'élèvent à 37 millions d'euros et les recettes à 40 millions d'euros.
La CASUD n'a pas eu recours à l'emprunt et reste endettée de manière " marginale" avec 247 000 euros à rembourser.
Les résultats de 2011 de la CASUD seront utilisés en 2012 … Grâce à un mode de gestion planifié la CASUD démontre son efficacité avec :
- Le maintient au plus bas niveau de la pression fiscale et tarifaire sur les usagers et les contribuables qui permet un équilibre financier à court et moyen terme ;
- Le soutien de la capacité d'investissement avec un endettement maitrisé ;
- Le respect de la solidarité intercommunale.
Je suis un Tamponnais inquiet, inquiet de voir nos intérêts faire l’objet d’une vengeance.
Partager
