La Droite n'a jamais eu une position claire à Sainte-Suzanne. Coincée entre Sainte-Marie et Saint-André, Sainte-Suzanne a souvent permis aux maires en place de consolider Maurice Gironcel, maire PCR, et maintenir ainsi aux abords de leur commune, la menace communiste. Sainte-Suzanne a été plus souvent le marche-pied de Saint-André et de Sainte-Marie.
C'était à nouveau le cas lors de ces Municipales partielles. A Sainte-Marie, la stratégie du maire Jean-Louis Lagourgue, chargé de gérer ces élections, a abouti à une seule réunion. Eddie Adékalom et Antonio Grondin n'ont pas apprécié. Ils en diront un peu plus dans les jours à venir sur l'abandon et le désarroi dans lequel ils se retrouvés lors de la campagne pour le premier tour.
Une rumeur persistante attribuait même des aides matérielles à Daniel Alamélou et Yolande Pausé. Les deux têtes de liste ont toujours démenti. Une question s'est imposée à l'issue du scrutin du 29 janvier : comment la Droite a pu passer de 30 % à 14 % de suffrages exprimés (3.353 voix à 1.400 voix) en moins d'un an ? Qui est responsable de cet effondrement ?
L'absence de La Réunion en confiance, la timide présence du Nouveau centre, la tradition de la Droite de Sainte-Suzanne proche de Jean-Paul Virapoullé de soutenir Maurice Gironcel, et les stratégies du PS pour les Législatives, ont fait imploser la Droite. Comme celle du PCR a fait imploser le conseil municipal. La Droite est portée disparue à Sainte-Suzanne.
Surtout ne la retrouvez pas, Ses représentants ne sauront pas quoi en faire. Déposez-la à l'Union des centres ou au PCR. A moins que les Législatives lui redonnent un quelconque intérêt. Et aussi à Jean-Paul Virapoullé du même coup...
C'était à nouveau le cas lors de ces Municipales partielles. A Sainte-Marie, la stratégie du maire Jean-Louis Lagourgue, chargé de gérer ces élections, a abouti à une seule réunion. Eddie Adékalom et Antonio Grondin n'ont pas apprécié. Ils en diront un peu plus dans les jours à venir sur l'abandon et le désarroi dans lequel ils se retrouvés lors de la campagne pour le premier tour.
Une rumeur persistante attribuait même des aides matérielles à Daniel Alamélou et Yolande Pausé. Les deux têtes de liste ont toujours démenti. Une question s'est imposée à l'issue du scrutin du 29 janvier : comment la Droite a pu passer de 30 % à 14 % de suffrages exprimés (3.353 voix à 1.400 voix) en moins d'un an ? Qui est responsable de cet effondrement ?
L'absence de La Réunion en confiance, la timide présence du Nouveau centre, la tradition de la Droite de Sainte-Suzanne proche de Jean-Paul Virapoullé de soutenir Maurice Gironcel, et les stratégies du PS pour les Législatives, ont fait imploser la Droite. Comme celle du PCR a fait imploser le conseil municipal. La Droite est portée disparue à Sainte-Suzanne.
Surtout ne la retrouvez pas, Ses représentants ne sauront pas quoi en faire. Déposez-la à l'Union des centres ou au PCR. A moins que les Législatives lui redonnent un quelconque intérêt. Et aussi à Jean-Paul Virapoullé du même coup...