Paul Junot a raison. Mimose Libel est dans ses droits. L'opposition départementale est dans son rôle. "Nassimah Dindar doit recevoir les ex-salariés de l'Arast. La présidente du Conseil général doit signer le document pour que les AGS indemnisent les ex-travailleurs de l'Arast". Le document en question précise qu'en cas de condamnation du Département dans ce dossier, le Conseil général remboursera les AGS.
Sur ce point, l'institution départementale n'a pas changé sa position depuis la liquidation de l'Arast. Il y a un point sur lequel le Conseil général apportera sans doute des précisions la semaine prochaine : qu'est devenue le GIP-SAP (Groupement d'intérêt public de service à la personne) ?
Créer le 16 décembre 2009 (un triste anniversaire), la structure chargée de ventiler les marchés à destination des entreprises privées, proposant des services à la personne, a surtout pour mission de veiller à la réinsertion professionnelle des ex-travailleurs de l'Arast, sans emploi à la suite de la liquidation de leur association. Quel est le bilan du GIP-SAP, deux ans après ?
S'il est vrai qu'il y a toujours 700 ex-employés (sur 1.200) de l'Arast sans activité professionnelle, le GIP-SAP a failli dans sa mission. Quelles en sont les raisons ? La majorité départementale aura des précisions à apporter. Car, l'opposition va sans doute multiplier les interventions sur ce point précis...
Sur ce point, l'institution départementale n'a pas changé sa position depuis la liquidation de l'Arast. Il y a un point sur lequel le Conseil général apportera sans doute des précisions la semaine prochaine : qu'est devenue le GIP-SAP (Groupement d'intérêt public de service à la personne) ?
Créer le 16 décembre 2009 (un triste anniversaire), la structure chargée de ventiler les marchés à destination des entreprises privées, proposant des services à la personne, a surtout pour mission de veiller à la réinsertion professionnelle des ex-travailleurs de l'Arast, sans emploi à la suite de la liquidation de leur association. Quel est le bilan du GIP-SAP, deux ans après ?
S'il est vrai qu'il y a toujours 700 ex-employés (sur 1.200) de l'Arast sans activité professionnelle, le GIP-SAP a failli dans sa mission. Quelles en sont les raisons ? La majorité départementale aura des précisions à apporter. Car, l'opposition va sans doute multiplier les interventions sur ce point précis...