"L’idée de rejoindre le groupe politique mené par Eddie Adékalom a essentiellement reposé sur son ancrage à droite et sur sa vision contenue dans son programme. Le premier tour des élections municipales, le dimanche 29 mars 2012, a clairement montré le choix des électeurs et électrices. Et, sans aucune compromission, nous aurions (tous les colistiers) nous incliner devant le choix de ceux et celles qui, via les urnes, avaient décidé de l’orientation politique à suivre".
"Le choix d’Eddie Adékalom de se rallier, pour des raisons personnelles et inavouables, à celui que nous avons combattu pendant de longues années est, pour ce qui me concerne, inacceptable. Il est également inacceptable pour tous les électeurs de Droite qui ont été mystifiés et trompés".
"Quand Eddie Adékalom dit qu’il "pense ainsi faire le choix qui correspond mieux aux intérêts de la commune et aux engagements de mes colistiers", il endosse le statut de menteur. Je n’ai pas été contacté (comme beaucoup d’autres) et je n’assume pas la responsabilité de la décision irresponsable qu’il a prise. Jamais je n’adhèrerai aux idées politiques du PCR, de tout organe communiste. Je défendrai toujours les valeurs morales qui m’ont été enseignées".
"Les conséquences de cet acte sont terribles. Tout d’abord le reniement de tous nos thèmes et objectifs de campagne. Puis, et surtout, le reniement des explications de la politique gouvernementale et de son engagement auprès des collectivités, malgré les conjonctures économiques difficiles".
"Enfin, et c’est le plus grave, la destruction de la Droite. C’était l’objectif essentiel de Maurice Gironcel en le "recrutant". Tout le travail qui a été fait pendant de longues années a été détruit. Et, la culture de l’égo et du pouvoir ont été les principaux moteurs de cette désolation".
"Je regrette que des colistiers et colistières, comme moi, aient été victimes de cet autre "sniper" politique sans morale. Je regrette infiniment d’avoir apporté mon soutien à un homme sans honneur, sans idéal politique. Et, je plains son statut de prisonnier du PCR, son label PCR, tout comme Antonio Grondin nouveau labellisé également.
"J’appelle tous les lecteurs de Droite à entrer dans la résistance. Je formule le souhait que tous ceux qui éprouvent ce sentiment dégoût et aspirent à des lendemains meilleurs se rassemblent pour les prochaines échéances électorales".
"Le choix d’Eddie Adékalom de se rallier, pour des raisons personnelles et inavouables, à celui que nous avons combattu pendant de longues années est, pour ce qui me concerne, inacceptable. Il est également inacceptable pour tous les électeurs de Droite qui ont été mystifiés et trompés".
"Quand Eddie Adékalom dit qu’il "pense ainsi faire le choix qui correspond mieux aux intérêts de la commune et aux engagements de mes colistiers", il endosse le statut de menteur. Je n’ai pas été contacté (comme beaucoup d’autres) et je n’assume pas la responsabilité de la décision irresponsable qu’il a prise. Jamais je n’adhèrerai aux idées politiques du PCR, de tout organe communiste. Je défendrai toujours les valeurs morales qui m’ont été enseignées".
"Les conséquences de cet acte sont terribles. Tout d’abord le reniement de tous nos thèmes et objectifs de campagne. Puis, et surtout, le reniement des explications de la politique gouvernementale et de son engagement auprès des collectivités, malgré les conjonctures économiques difficiles".
"Enfin, et c’est le plus grave, la destruction de la Droite. C’était l’objectif essentiel de Maurice Gironcel en le "recrutant". Tout le travail qui a été fait pendant de longues années a été détruit. Et, la culture de l’égo et du pouvoir ont été les principaux moteurs de cette désolation".
"Je regrette que des colistiers et colistières, comme moi, aient été victimes de cet autre "sniper" politique sans morale. Je regrette infiniment d’avoir apporté mon soutien à un homme sans honneur, sans idéal politique. Et, je plains son statut de prisonnier du PCR, son label PCR, tout comme Antonio Grondin nouveau labellisé également.
"J’appelle tous les lecteurs de Droite à entrer dans la résistance. Je formule le souhait que tous ceux qui éprouvent ce sentiment dégoût et aspirent à des lendemains meilleurs se rassemblent pour les prochaines échéances électorales".