Les élites parisiennes se regardent défiler, le bon peuple regarde la télé...
Entre un président menteur volage et sans légitimité qui cherche à ressembler au Chirac des mauvais jours en s'achetant des lunettes "tape-à-l'oeil" et des cérémonies locales de plus en plus déprimantes, ce 14 juillet est bien à l'image de notre pays : en décadence.
Dans les provinces, les commémorations rassemblent de moins en moins de gens parce qu'elles sont devenues ennuyeuses pour un public qui n'a plus de contact avec la guerre.
On aurait été en droit d'attendre de nos responsables qu'ils fassent preuve d'imagination pour capter à nouveau l'attention des gens sur les basiques de la vie en société, mais c'est bien trop leur demander.
Les citoyens désertent les partis, les syndicats, les urnes, les cérémonies républicaines… et tout le monde s'en fout.
Notre démocratie est devenue comme ces villages fantômes, quelques survivants répètent inlassablement les mêmes figures imposées, mais la vie a déserté les rues et les maisons.
Le pire c'est que nos élites croient que cela peut encore durer...
Entre un président menteur volage et sans légitimité qui cherche à ressembler au Chirac des mauvais jours en s'achetant des lunettes "tape-à-l'oeil" et des cérémonies locales de plus en plus déprimantes, ce 14 juillet est bien à l'image de notre pays : en décadence.
Dans les provinces, les commémorations rassemblent de moins en moins de gens parce qu'elles sont devenues ennuyeuses pour un public qui n'a plus de contact avec la guerre.
On aurait été en droit d'attendre de nos responsables qu'ils fassent preuve d'imagination pour capter à nouveau l'attention des gens sur les basiques de la vie en société, mais c'est bien trop leur demander.
Les citoyens désertent les partis, les syndicats, les urnes, les cérémonies républicaines… et tout le monde s'en fout.
Notre démocratie est devenue comme ces villages fantômes, quelques survivants répètent inlassablement les mêmes figures imposées, mais la vie a déserté les rues et les maisons.
Le pire c'est que nos élites croient que cela peut encore durer...